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LA BêTE DU GéVAUDAN


la bête du Gévaudan a tué plus de 100 personnes!!!


Entre 1764 et 1767, la bête du Gévaudan tue plus de 100 personnes, uniquement des femmes et des enfants. Le mythe de la bête du Gévaudan a donné lieu aux théories les plus fantaisistes. Aujourd’hui, grâce a des chercheurs l’identité de cette bête a été dévoilée avec certitude.Ces meurtres atroces, attribués à une bête sauvage, mettent en péril l’image du pouvoir absolu, détenu par Louis XV. Pendant trois ans, des meurtres ont été perpétués dans le Gévaudan, qui correspond à peu près à l’actuelle Lozère Entre 1764 et 1767, la bête du Gévaudan tue plus de 100 personnes, uniquement des femmes et des enfants. Le mythe de la bête du Gévaudan a donné lieu aux théories les plus fantaisistes. Aujourd’hui, grâce aux chercheurs du Muséum d’histoire Naturelle de Paris, l’identité de cette bête a été dévoilée avec certitude. Il règne dans le Gévaudan, en cette fin d’Ancien Régime, une misère profonde. Ces meurtres atroces, attribués à une bête sauvage, mettent en péril l’image du pouvoir absolu, détenu par Louis XV.La première attaque a lieu au printemps 1764 ; une femme est attaquée près de Langogne mais ses bœufs mettent en fuite l’animal. Peu de temps après, le cadavre d’une adolescente de 14 ans est retrouvée. C’est la première victime officielle de la bête. Mais cette victime est la première d’une longue liste. Selon les témoins, l’animal responsable de l’agression de la bergère et de l’adolescente n’est pas un loup. La description qu’en feront tous les témoins est la suivante : « une bête avec une très grosse tête, des flancs rougeâtres, avec une bande noire tout au long du dos, une queue très touffue, des pattes larges munies de grandes griffes. »Après 3 mois de traque, F.Antoine, tue en septembre 1765, un gros loup dont le corps est empaillé et envoyé à la cour. On sait aujourd’hui, que F.Antoine a orchestré de toutes pièces cette soi-disant battue. Ayant peur de tomber en disgrâce, il lui fallait absolument une bête à exposer. De plus, l’exhibition de cette bête empaillée a pour objectif de restaurer l’image du roi qui est devenu la risée de toute l’Europe. Le succès est d’ailleurs de courte durée. Les meurtres reprennent peu après. Ils s’arrêteront le 19 juin 1767, jour où Jean Chastel tue un nouvel animal. Ce personnage énigmatique est omniprésent pendant toute cette histoire et nous allons y revenir. A plusieurs reprises durant ces 3 ans, l’animal a été blessé. Il a été tiré soit à une certaine distance, soit à bout portant. Pourtant, il s’est toujours relevé pour s’enfuir. Ces faits ont bien sûr intensifié aux yeux de la population l’aspect démoniaque et surnaturel de la bête. En 1973, dans le Middle West américain, les cadavres de dizaines de bovins sont découverts. Les bêtes ont eu les oreilles, les lèvres, les mamelles et les queues tranchées. Les yeux ont été enlevés. Les mutilations ont été effectuées avec une précision chirurgicale.

Article rédigé le 18/12/2008 par chloé .L (5e1)

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